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Oncofactory : l’histoire d’un CEO qui cherche (et trouve !) son projet

11 novembre 2018

Défi relevé par la startup de biotechnologies lyonnaise OncoFactory : créer des répliques miniatures de cancer dans un embryon aviaire afin de tester l’efficacité de drogues anticancéreuses.

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l'histoire d'un coup de foudre

Alors qu’en 2016 il recherche un projet scientifique à porter, Frédéric Berget rejoint le réseau des Business Angels et se trouve orienté auprès de PULSALYS par l’un des membres, déjà en lien étroit avec la SATT. « PULSALYS fait partie des incubateurs dont on entend souvent parler sur la place lyonnaise, et qui m’avait fortement été conseillé » raconte-t-il. Ainsi la rencontre avec les deux chercheuses du CNRS, Valérie Castellani-Lincontang et Céline Delloye Bourgeois, se produit en décembre 2016. C’est d’emblée le coup de foudre pour « une technologie absolument prodigieuse, dotée de perspectives de développement industriel très intéressantes ». Protégée par plusieurs brevets gérés par PULSALYS, la technologie issue de l’Institut NeuroMyoGène (INMG) à Lyon, qui permet de créer des répliques miniaturisées de tumeurs cancéreuses de patient, est à la base de la création de la startup Oncofactory en mars 2016. C’est en mai 2017 que Frédéric Berget, soutenu par la SATT, prendra les rênes de la société en en devenant son CEO.